dimanche 6 février 2011

La détresse des uns fait le bonheur des autres

Pourquoi attendre d'être au pied du mur pour soutenir nos services publics?

Le conseiller général doit défendre au quotidien tous les services de proximité : agences postales mais aussi écoles, gendarmerie, police, administrations...
La délocalisation de la Ditam de Conflans vers Homécourt est engagée depuis des mois. Pourquoi attendre la révolte des agents de la DITAM pour se manifester ?
Conflits d'intérêts!!!



vendredi 4 février 2011

Pas d'étiquette, mais de l'éthique !

Comme vous le savez, je me présente à vous, dans cette campagne, sans aucune attache partisane. J'ai préféré l'éthique à l'étiquette ! L’éthique comme un code de bonne conduite, un comportement honnête, une morale.

Et dans le contexte que l'on connait, ce n'est visiblement pas du luxe !

Je ne suis pas de ceux qui, du fait d’une appartenance politique, taisent leur désaccord. Ma parole est libre, comme le seront mes choix si je suis élu au Conseil Général. C’est la seule façon, selon moi, de défendre correctement les intérêts de tous. Car comment prétendre être un défenseur de ses administrés et de son canton lors que l’on ferme les yeux sur le départ de la Direction Territoriale adjointe à l’Aménagement de Conflans-en-Jarnisy? Ce service du conseil général de Meurthe et Moselle est sur le point de déménager pour la maison du département d’Homécourt. Comment ce fait-il que le Jarnisy ne soit pas plus combatif face au canton d’Homécourt ? Y aurait-il des arrangements ? Tous les services publics du canton doivent perdurer, l’agence postale autant que la DiTAm (ex DDE de Conflans).

D’autre part, j’aborde ces élections pour ce qu’elles sont, à savoir, des élections locales. A la différence des élections nationales, où l’appartenance politique peut informer sur un socle de valeur, les élections locales n’ont pas pour objet des postes où les choix sont « politiquement marqués ». Ainsi, les postes électifs locaux nécessitent à la fois plus de flexibilité et sont bien plus une question de personne que de parti.

C’est pour toutes ces raisons que j’ai choisi de m’engager sans étiquette. Je me présente donc à vous en toute indépendance, avec une liberté sans borne, ma plus grande richesse. Pourvu que cette liberté vous serve !

mardi 1 février 2011

Passe-droits et arrangements personnels

Avez-vous entendu parler de l'explosion des inégalités ? De la crise financière ? Des difficultés qui l'accompagnent ? Comment ? Vous n'avez pas seulement entendu parler de ces choses là ? Vous les vivez au quotidien ! Il me semblait aussi que nous nous comprenions !

Les difficultés, c'est chaque fois que l'on fait ses courses, chaque fois que l'on fait son plein, chaque fois que l'on s'engage dans une démarche administrative...

Cependant, malgré ce que nous laisse croire notre devise "liberté, égalité, fraternité", tout le monde n'est pas logé à la même enseigne. Il y en a qui s'en sortent mieux que d'autres.

Il faut dès lors faire une différence entre deux catégories : ceux qui travaillent pour s'en sortir et ceux qui jouissent d'un système qui leur est invariablement favorable.

Mais alors pourquoi le système semble favoriser sans cesse ces derniers ? Tout simplement parce que ce sont
ceux là même qui tiennent le système. Ils sont élus et cumulent les postes de tel sorte que, d'une part, tout est verrouillé et d'autre part, ils se créent des richesses. Car il faut bien se le dire, faire la somme de leurs indemnités, c'est voir l'ampleur de leurs revenus. Et quelque soit le parti, la scène se répète.

Bien entendu, il y a bien d'honnêtes élus. Bien entendu, la plupart s'engagent pour servir la communauté. Mais reste à faire la différence entre ces derniers et les autres, peu scrupuleux, qui ont fait de la politique et de la confiscation du pouvoir à divers niveaux un business rentable.

C'est avec le vif désir de vous convaincre de mon intégrité que je vous écris aujourd'hui. En effet, pour preuve, je ne m'engage pas ni ne fais de politique par besoin "alimentaire". Autrement dit, si demain, tout devait s'arrêter, outre ma profonde déception de ne pouvoir mettre toute mon énergie à votre service, je poursuivrai ma vie telle que je la mène aujourd’hui. Je ne suis pas économiquement politico-dépendant, je ne suis pas "financièrement" intéressé.

Les idées seules sont le moteur de mon engagement dans la campagne des cantonales. Ce sont ces idéaux qui guideront mes choix et mes prises de positions. Ce sont ces idées qui seront les fondements de mon programme et pas, au risque de me répéter, un quelconque intérêt économique, professionnel ou financier. A l'heure où nos députés débattent de comment en finir avec les conflits d'intérêt, je tenais simplement à vous signifier qu'aucun n'est susceptible de s'opposer à l'indépendance de mon investissement.